Une répercussion créé lorsqu'on n’a plus de mots




Une tension. Pas douloureuse. Juste constante. Comme un fréquent marqué par la peau. Une hésitation. Trop d’options, pas pas mal de innocence. Le de l'esprit fait des boucles. L’intuition est absente. Ou toutefois qu’elle parle, mais infiniment délicatement. Un réflexe. Ouvrir un onglet, étriller une phrase. Chercher une alternative à retentissement de main. Pas un long mulsion. Pas un accompagnement. Juste un mot juste, à l'instant. Une attente. Courte. Inconfortable. Pas parce qu’on est hâtif. Parce que le instant est fragile. Il faudrait que résultat tombe dans cette brèche nette. Un envie. D’une lecture rapide, mais pas indéfini. D’un regard posé sur ce que l’on n’arrive plus à explorer soi-même. Un méfiance. Est-ce que ça peut indiscutablement maintenir, une voyance immédiate ? Est-ce que ça pourrait indiscutablement émouvoir ce qu’on ne signifie pas ? Une l'énergie. De définir un écho qui lit sans envahir. Une réponse qui éclaire sans dire. Un tri. Entre les cabinets bruyantes, les espérances vivement pleines, les explications formatées. On ne cherche pas une chose. On cherche un pas. Une repos. Devant une page sobre. Un appellation qu’on lit pour la première fois, mais qui ne sonne pas faux. Un fait. Écrire une problématique. Brève. Dense. L’envoyer sans attendre plus longtemps.

Une lecture. Quelques citations. Pas plus. Mais quelque chose s’est aligné. Un plaisir. Pas parce que on a brave. Parce que cela vient perçu. C’est appelé. Une phrase. Qui tombe exactement là où le fracas commençait. Une inspiration. Plus riche. Moins de tension dans les épaules. Moins de bruit dans la tête. Un portée. Qui ne vient pas de la cadence. Mais de la netteté. Une conscience. Que retour a été écrite avec fatal. Pas générée. Pas recyclée. Un site. Qui tient ses engagements. Qui ne surjoue pas l’instantanéité. Qui la donne, sans l’abîmer. Ce aide libre sans mise en scène, mais avec vie, c’est là qu’on revient. Pas par usage. Par confiance. Une voyance olivier ancre. Pour les jours où tout glisse. Où rien ne satisfait. Un équilibre. Entre l’urgence intérieure et la parole extérieure. Entre ce qu’on sent confusément et ce qu’on lit plus clair. Un souvenir. D’un moment extraordinairement court. D’un message généreusement désinvolte. Mais d’un portée éternel. Une arrestation de perception. ce n’est pas le générations qui rend les réponses semi-précieuses. C’est leur justesse. Une vérité. La voyance immédiate, quand elle est nécessaire réalisée, ne suggère pas tout. Elle montre ce qu’on peut en dernier lieu frôler.



 

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